top of page

NOËL, A NOTRE PORTE

​

       Depuis le Prophète Daniel, et reprise par saint Jean dans son Apocalypse, nous avons cette expression du « DIEU QUI VIENT ». Elle achève la doxologie « Au Dieu qui est, qui était et qui vient ».

          Cette venue de Dieu marque l’Agir permanent de son Amour pour nous. Dieu est toujours Celui qui vient à notre rencontre, le Dieu de l’Espérance.

          L’entrée de Jésus dans la Gloire du Père, par sa Résurrection, ne l’a pas enlevé de notre humanité. Au contraire, il s’y est enfoui, tel le levain dans la pate. Et « Voici que je me tiens à la porte et que je frappe ! Si quelqu’un entend ma voix et vient m’ouvrir, j’entrerai chez lui pour prendre mon repas, moi près de lui et lui près de moi » trouve-t-on dans ce même livre de l’Apocalypse (3,20).

          C’est donc, avec un regard habité par le Ressuscité, le regard de la foi, que nous pouvons discerner les venues de Dieu ! Elles ne sont jamais du direct. Elles sont de l’ordre des Sacrements où Dieu se cache mais nous fait Signe.

          Alors, ouvrons nos yeux et nos oreilles, ouvrons nos cœurs : Voici que, durant ce mois de décembre, la Porte de notre Eglise, à Générac, va être frappée par 6 catéchumènes qui viennent demander le Baptême. Estelle, Laura et Justine, en ce premier dimanche de l’Avent, puis 2 jeunes Amicie et Léa, le 8 décembre lors de la Messe des Familles et enfin Laurine le dimanche 29, lors de la Messe Commune.

​

          Réjouissons-nous de cette venue de Dieu. Elles ont ouvert la porte de leur cœur à Celui qui désirait tant partager son repas d’Alliance. Et c’est par elles que le Christ en retour nous fait Signe ! C’est par elles, aujourd’hui, qu’il vient à nous.

          Comme le dit la chanson : « C’est Noël sur le terre chaque jour, car Noël, ô mon frère, c’est l’Amour. » Sachons voir l’Amour que Dieu nous porte en nous donnant des frères et sœurs. En les accueillant, en les entourant et en leur faisant place dans notre communauté, nous serons vraiment l’Eglise du Christ.

          Sachons aussi accueillir ce « Dieu qui vient » dans la Rencontre que nous allons vivre avec les Protestants et les Musulmans, au cours de la Marche pour la Paix avec la Lumière de Bethléem, mercredi 18 décembre. L’Espérance du Dieu qui vient nous met en route vers l’Unité.      

 

    J O Y E U X    N O Ë L   A   T O U S

bottom of page